vendredi 30 novembre 2012

Mots de passe et maux de tête

Comme un autre membre du cours INF1607 l'illustre si bien dans son blogue, les mots de passe sur Internet constituent un véritable problème.

En effet, comment s'assurer de se rappeler de tous ces mots de passe? Monsieur Levesque suggère notamment des unificateurs d'identité, ce en quoi je suis bien d'accord. Cependant, une autre question me vient en tête : mais qu'arrive-t-il avec les informations partagées par ces unificateurs?

Ainsi, s'il est possible de s'identifier à une multitude de sites différents avec Facebook Connect, n'est-on pas mis devant le même fait accompli qu'avec les diverses applications disponibles sur le réseau social qu'est Facebook, c'est-à-dire que nos informations personnelles seront partagées avec ces sites auxquels on se connecte? Bien entendu, nous voulons que certaines de ces informations soient partagées, justement pour nous permettre de nous identifier. Alors nom, prénom, adresse courriel, pas de problème.

Mais lorsqu'il est question de certains goûts, préférences et appartenances à des groupes que nous préférons garder privé ou seulement accessibles à nos amis, cela peut poser problème. Encore plus quand on sait à quel point le réseau social en question a tendance a modifier ses paramètres fréquemment sans nécessairement rendre le tout clair pour ses utilisateurs!

Comme le mentionne l'auteur du billet, Steve Levesque, il faut rester vigilant dans l'utilisation de ces applications, sinon les risques de dévoiler plus d'information sur notre vie privée sont bien présents!


Groupes et décisions

Lorsque j'ai lu le contenu du module 6, qui porte sur la notion de groupes sociaux et de leurs caractéristiques, j'ai immédiatement pensé à une notion qui a été abordée lors de mon parcours universitaire.

Au programme de ma maîtrise en sciences de l'information à l'Université de Montréal se trouve un cours d'introduction à la gestion de services d'information. Dans ce cours, nous avons ainsi abordé le paradoxe d'Abilène, tel qu'illustré par ce superbe vidéo datant d'il y a plus que 10 ans.

En gros, le paradoxe d'Abilène arrive lorsque les membres d'un groupe décident d'une action qui est en fait contraire au désir de chacun de ses membres qui, individuellement, croient qu'ils sont les seuls à désirer autre chose que le groupe dans son ensemble. Dans le vidéo, on voit par exemple que les quatre membres d'une famille décident d'aller chercher une crème glacée à Abilene parce que chacun croit que c'est ce que les autres veulent et qu'ils ne désirent pas déplaire. Mais, en fait, on se rend compte suite à une discussion entre les membres qu'ils souhaitaient tous faire autre chose.

Donc, personne n'est satisfait. Comme quoi, la communication entre membres d'un groupe est très importante! Depuis le visionnement de ce vidéo, je me fais un point d'honneur à affirmer mes désirs, de manière polie bien entendu, afin de ne pas me retrouver dans une situation semblable!




mardi 27 novembre 2012

Réseaux sociaux et gaffes



Sur Mashable, un site que j'ai continué à suivre suite à la première activité, il y avait hier un article sur les 11 plus grandes gaffes sur les réseaux sociaux en 2012. Bon, cet article reste somme toute assez anecdotique, mais il a quand même un côté très intéressant.

En effet, un tel article, qui expose les gaffes commises, permet au lecteur de se former une idée des règles à suivre pour une entreprise ayant une présence sur les réseaux sociaux. Par exemple, s'assurer que l'on connaît le contexte des hashtags (#) dont on fait usage, au risque de choquer, ou encore avoir des directives très claires selon lesquelles un employé en charge des réseaux sociaux devrait toujours vérifier qu'il est sur le bon compte avant de mettre en ligne une nouvelle.

Pourquoi? Parce que lorsqu'une gaffe est commise, cela peut avoir des conséquences très sérieuses pour une compagnie ou un employé, allant jusqu'à l'annulation d'une campagne de publicité, de pertes monétaires de l'ordre de milliers de dollars ou encore la perte d'un emploi pour l'employé fautif.

Bref, les réseaux sociaux peuvent certes donner plus de visibilité à un organisme, mais cette visibilité se doit d'être accompagnée d'une bonne dose de vigilance, sinon gare aux conséquences!

samedi 24 novembre 2012

Bandes-dessinées et cotes

En tant que grande lectrice de bande-dessinée, j'étais déjà au courant de la classification de bandes-dessinées en différentes catégories selon leur classification. Je n'avais cependant jamais pris la peine de lire cette grille de la part de ComicsPriceGuide.

Cette grille, donc, vise à servir de référence pour établir la condition d'une bande-dessinée. Évidemment très utile pour les collectionneurs, elle permet également d'apposer plus facilement une valeur à une bande-dessinée en se servant des critères de chaque catégorie pour déterminer à laquelle l'exemplaire d'une oeuvre particulière appartient. Ainsi, on y apprend par exemple que le Mint Grade est le meilleur état possible, qu'il est très rare et que pour y appartenir, une bande-dessinée ne peut posséder que de petits défauts mineurs et ne doit pas contenir d'autographes.

On mentionne aussi sur cette page que, bien sûr, la condition physique est loin d'être le seul facteur à considérer dans le cadre de l'échange, vente et achat de bandes-dessinées. Il faut aussi considérer la rareté, le potentiel de vente et la restauration, s'il y a lieu.

À mon avis, ce genre d'outils démontre bien à quel point les collectionneurs de bandes-dessinées prennent la chose au sérieux, sont méthodique et organisés... et j'aime ça!

jeudi 22 novembre 2012

Réseaux sociaux et présence : quelle stratégie?

Être présent sur un réseau social, soit. Mais se créer un compte être loin d'être tout ce qu'il faut faire!

En effet, comment faire en sorte que notre présente sur un réseau social soit fructueuse?

Voici quelques conseils, tirés de mon expérience personnelle :

Se trouver un créneau. Ne pas se lancer dans toutes les directions. En gros, se définir une « identité particulière ». En quelque sorte, se faire expert dans un domaine de connaissances précis. Il peut y avoir bien d'autres choses, mais se spécialiser, c'est la clé. Que ce soit en musique ou en politique ou en littérature, peu importe. La spécialisation fait en sorte que les gens avec qui on interagit reconnaissent l'expertise et portent attention à ce qu'on peut écrire sur ce sujet. Ça peut sembler un peu superflu pour un profil, alors qu'on ne parle pas de blogues, mais les gens qui semblent avoir le plus de succès sur les réseaux sociaux ont toujours ce genre de champ d'expertise qui leur donne un certain prestige.

Se faire un réseau de contacts. Avoir une expertise ne sert à rien si l'on a aucun contact avec qui échanger. Trouver des gens qui ont un intérêt similaire au notre. Communiquer, échanger. Avec les contacts, plus facile de savoir ce qu'il y a de nouveau ou de populaire.

Se faire très présent. Il faut publier pour être reconnu. Beaucoup. Souvent. Et être constant. Difficile d'être à la fine pointe si on n'est jamais présent. Difficile aussi de maintenir des « followers » intéressés si on publie seulement une fois par mois.

Bref, pour avoir du succès sur un réseau social, il faut y mettre de l'énergie.. et du temps!


Nouvelles alternatives

En lisant le billet Qu'arrive-t-il aux nouvelles d'intérêt local? par Natasha Dubois, j'ai songé aux nouvelles dont j'avais pris connaissance durant l'année qui vient de s'écouler. En fait, j'ai surtout pensé aux nouvelles ayant trait à la grève étudiante et au débat sur la hausse des frais de scolarité.

Le web social permet non seulement de diffuser des nouvelles d'intérêt local, comme le mentionne Madame Dubois, mais aussi, et c'est là que j'accroche, une autre perspective sur l'actualité. Quand nos seules références sont La Presse, Le Devoir et le Journal de Montréal, par exemple, alors on reste avec des références qui possèdent souvent un point de vue assez similaire sur le sujet, soit celui des médias de masse.

C'est donc plutôt le web social qui, durant la grève, m'a tenue informée sur ce qui se passe de l'autre côté du miroir. Qui m'a montré ce qui se passe réellement durant les manifestations, entre autres choses, qui m'a permis constater la différence entre ce qui avait véritablement lieu, à l'aide de vidéos capturés et commentés par des gens qui y avaient participé, et ce qu'on voulait bien nous montrer. Bien sûr, il faut rester critique envers ce qu'on nous montre, peu importe la source, mais pouvoir obtenir les deux côtés de la médaille, ça n'a pas de prix.

Merci, web social.

lundi 19 novembre 2012

Web social et fausses nouvelles

Je me suis senti interpellée par l'un des sujets abordés au sein du quatrième chapitre : le concept de crédibilité. En effet, en tant qu'utilisateurs faisant partie du Web social, d'ou tenons-nous les informations que nous relayons et, surtout, comment savoir si elles sont véridiques ou non?

Dans Why We’re More Likely Than Ever Before To Believe Fake New, l'auteur explique toute la dynamique des fausses nouvelles, entre autres pourquoi nous sommes plus enclins à les croire, et comment elles peuvent nous parvenir, le tout dans le contexte du web social.

Comme tant d'autres internautes, la crédibilité d'une nouvelle tient souvent plus à la personne ayant relayé l'information qu'à la source elle-même. Par exemple, si je lis un message sur les réseaux sociaux, les chances que je clique sur un lien pour en savoir plus tiennent davantage à la personne qui l'a mis en ligne qu'à la source première. Cette personne est socialement populaire et met souvent en ligne? Je clique. Elle ne le fait que peu? Beaucoup de chances que je laisse tomber.

Là ou je suis par contre peu en accord avec ce qui est dit? Lorsque l'auteur mentionne que, de plus en plus, on se fiche bien de la crédibilité. Que tant qu'une nouvelle soit amusante ou intéressant, peu importe sa véracité. Or, la crédibilité d'une source-amie sera pour moi entachée si, à de nombreuses reprises, cette personne relaie de fausses informations. Je ne lui accorderai plus ma confiance et ne voudrai sans doute pas transmettre les informations que j'aurai obtenues de sa part.

Et vous? Qu'est-ce qui vous importe? La source seconde, celle que vous connaissez, ou la source première? Et pardonnez-vous les erreurs.. et même les erreurs à répétition?

jeudi 1 novembre 2012

Qu'est-ce qui fait le succès d'un blogue?

Dans le troisième module du cours Web social, nous abordons les blogues.

Or, ce sujet, nous l'abordons d'un point de vue plutôt historique et descriptif : quand les premiers blogues sont-ils apparus, quels étaient leurs créateurs, quelles en sont les principales caractéristiques?

En faisant cela, nous oublions de traiter un aspect selon moi primordial : mais qu'est-ce qui fait le succès d'un blogue?

En effet, en tant que créateur d'un blogue, comment pouvons-nous faire en sorte que notre blogue soit populaire, permette d'attirer un large public et de perdurer?

Sur Social Media Today, on donne quelques conseils à suivre.

Parmi ceux-ci : bien connaître son sujet, effectuer des mises à jour régulièrement et produire du contenu de qualité.

Personnellement, ce qui m'importe le plus dans un blogue et me pousse à y retourner, c'est la qualité du contenu et, surtout, que du nouveau contenu soit publié régulièrement. Un blogue mis à jour moins qu'une fois par deux-trois semaines risque fort de causer ma désertion.

Alors, pour vous, qu'est-ce qui fait le succès d'un blogue?